Gabriel
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 La tolérance musulmane

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Renaud

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MessageSujet: La tolérance musulmane   La tolérance musulmane EmptyLun 20 Fév - 2:18

Série de texte pour rétablir la vérité historique sur la conquête dite"pacifique" de l'islam

Chronique de Jean de Nikiou : Invasion de l'Egypte

http://visualiseur.bnf.fr/CadresFenetre?O=NUMM-108650&M=pagination&Y=Image


"Le général Théodose, en apprenant l’arrivée des musulmans, se transportait d’un lieu à un autre, afin d’observer l’ennemi. Les musulmans attaquèrent, tuèrent le commandant, massacrèrent toutes ses troupes et s’emparèrent de la ville de Behnesa. Quiconque se rendait auprès d’eux fut massacré ; ils n’épargnèrent ni vieillards, ni femmes, ni enfants… Alors les musulmans arrivèrent à Nikiu. Il n’y avait pas un seul soldat pour leur résister. Ils s’emparèrent de la ville et massacrèrent tous ceux qu’ils rencontraient dans la rue et dans les églises, hommes, femmes et enfants, sans épargner personne. Puis ils allèrent dans d’autres lieux, les saccagèrent et y tuèrent tous les habitants qu’ils trouvaient… Mais taisons-nous maintenant car il est impossible de raconter les horreurs commises par les musulmans lorsqu’ils occupèrent l’île de Nikiu… Amr opprima l’Égypte et le patriarche Kyros éprouvait une profonde douleur à cause des calamités du pays car Amr, qui était d’origine barbare, traitait les Égyptiens sans pitié et n’exécutait pas les accords qui avaient été conclus avec lui. La situation d’Amr devenait de jour en jour plus forte. Il levait l’impôt qui avait été convenu mais il ne toucha point aux biens des églises, les préserva de tout pillage et les protégea pendant toute la durée de son gouvernement… Mais il est impossible de raconter la situation lamentable des habitants d’Alexandrie, qui en arrivèrent à offrir leurs enfants en échange des sommes énormes qu’ils avaient à payer chaque mois, ne trouvant personne pour les secourir, car Dieu les avait abandonnés et avait livré les chrétiens entre les mains de leurs ennemis… "

[...]<<Il arriva aussi, sous le règne de cet ami de Dieu, que des barbares impies(..) vinrent du côté de l’Arabie vers les bords de la mer Rouge, (puis) se jetèrent sur les moines de la région de l’Euphrate, [...]<<Il arriva aussi, sous le règne de cet ami de Dieu, que des barbares impies(..) vinrent du côté de l’Arabie vers les bords de la mer Rouge, (puis) se jetèrent sur les moines de la région de l’Euphrate, massacrèrent ou emmenèrent en esclavage les unes, et enlevèrent aux autres ce qu’ils possédaient, car ils haïssaient les saints et avaient les mêmes sentiments que les idolâtres et les païens ; et, après avoir fait un butin considérable, ils retournèrent dans leurs pays. En apprenant ces faits, l’empereur fit construire de fortes tours pour protéger les demeures des moins, qu’il combla de bienfaits, ainsi que tous les moines de l’empire romain.>>[...]


[...]"Amr, le chef des musulmans , lutta pendant douze ans contre les chrétiens du nord de l’Egypte, sans réussir à conquérir leur province. Dans la quinzième année du cycle, pendant l’été, il marcha sur Sakhâ et sur Toukhô-Damsis, impatient de réduire les Egyptiens avant la crue du fleuve. Mais il lui fut impossible de rient entreprendre contre eux. Il fut également repoussé à Damiette, où il voulait brûler les fruits des champs. Alors il alla rejoindre ses troupes établies dans la citadelle de Babylone d’Egypte et leur remit tout le butin qu’il avait fait à Alexandrie. Il fit détruire les maisons des habitants d’Alexandrie qui avaient pris la fuite, et avec le bois et le fer qui en provenaient, il fit construire un passage reliant la citadelle de Babylone à la ville des deux fleuves, et donna l’ordre de la brûler. Les habitants, avertis du danger, sauvèrent leurs biens et abandonnèrent leur ville, et les musulmans y mirent le feu. Mais les habitants allèrent pendant la nuite, éteindre l’incendie. Les musulmans se tournèrent (ensuite) contre d’autres villes, dépouillèrent les Egyptiens de leurs biens et exercèrent sur eux des actes de violence.

[...]Lorsque, après de longs efforts, les musulmans eurent fait tomber les murs de la ville, ils s’en emparèrent sur le champ, tuèrent des milliers d’habitants et de soldats, firent un énorme butin, emmenèrent en esclavage les femmes et les enfants, qu’ils se partagèrent et laissèrent la ville complètement vide. Peu de temps après, ils allèrent en Chyptre et tuèrent Etienne et ses gens
Les Egyptiens qui, par crainte des musulmans étaient venus se réfugier à Alexandrie, demandèrent au patriarche d’obtenir des musulmans qu’ils pussent, en se soumettant à leur domination, retourner dans leur province. Cyrus négocia pour eux, selon leur demande. Et les musulman prirent possession de toute l’Egypte, du midi et du nord, et triplèrent l’impôt. Un homme, nommé Ménas, qui avait été nommé par l’empereur Heraclius préfet de la basse Egypte, homme présomptueux tout en étant illettré, qui détestait profondément les Egyptiens, fut, après la prise de possession du pays par les musulmans, maintenu par eux à son poste. Ils en choisirent un autre, nommé Sînôdâ, comme préfet de la province du Rîf et un nommé Philoxenos, comme préfet d’Arcadie ou Faiyoûm. Ces trois hommes aimaient les paiens et détestaient les chrétiens, ils forçaient ceux-ci de porter (aux musulmans) du fourrage pour les bêtes et exigeaient d’eux de fournir du lait, du miel, des fruits, du poireau et beaucoup d’autres objets en dehors des rations ordinaires. Les Egyptiens exécutaient ces ordres, étant sous le coup d’une terreur incessante.(Les musulmans)les forcèrent de creuser le canal de Trajan qui était détruit depuis longtemps afin de conduire l’eau depuis Babylone d’Egypte jusqu’à la mer Rouge. Le joug qu’ils faisaient peser sur les Egyptiens était plus lourd que celui qui avait été imposé à Israel par Pharaon, que Dieu punit d’un juste châtiment en le précipitant dans les flots de la mer Rouge.[...]
p.457[...]

[...]Lorsque, après de longs efforts, les musulmans eurent fait tomber les murs de la ville, ils s’en emparèrent sur le champ, tuèrent des milliers d’habitants et de soldats, firent un énorme butin, emmenèrent en esclavage les femmes et les enfants, qu’ils se partagèrent et laissèrent la ville complètement vide. Peu de temps après, ils allèrent en Chyptre et tuèrent Etienne et ses gens
Les Egyptiens qui, par crainte des musulmans étaient venus se réfugier à Alexandrie, demandèrent au patriarche d’obtenir des musulmans qu’ils pussent, en se soumettant à leur domination, retourner dans leur province. Cyrus négocia pour eux, selon leur demande. Et les musulman prirent possession de toute l’Egypte, du midi et du nord, et triplèrent l’impôt. Un homme, nommé Ménas, qui avait été nommé par l’empereur Heraclius préfet de la basse Egypte, homme présomptueux tout en étant illettré, qui détestait profondément les Egyptiens, fut, après la prise de possession du pays par les musulmans, maintenu par eux à son poste. Ils en choisirent un autre, nommé Sînôdâ, comme préfet de la province du Rîf et un nommé Philoxenos, comme préfet d’Arcadie ou Faiyoûm. Ces trois hommes aimaient les paiens et détestaient les chrétiens, ils forçaient ceux-ci de porter (aux musulmans) du fourrage pour les bêtes et exigeaient d’eux de fournir du lait, du miel, des fruits, du poireau et beaucoup d’autres objets en dehors des rations ordinaires. Les Egyptiens exécutaient ces ordres, étant sous le coup d’une terreur incessante.(Les musulmans)les forcèrent de creuser le canal de Trajan qui était détruit depuis longtemps afin de conduire l’eau depuis Babylone d’Egypte jusqu’à la mer Rouge. Le joug qu’ils faisaient peser sur les Egyptiens était plus lourd que celui qui avait été imposé à Israel par Pharaon, que Dieu punit d’un juste châtiment en le précipitant dans les flots de la mer Rouge.[...]
p.457


[...]Amr,après avoir réduit l’Egypte, envoya les troupes de ce pays contres les habitants de Pentapolis, et après avoir vaincu ces derniers, il ne les laissa pas demeurer ; il enleva seulement de ce pays contre les habitants de la Pentapolis, et après avoir vaincu ces derniers, il ne les y laissa pas demeurer ; il enleva seulement de ce pays un immense butin et un grand nombre de captifs. Aboûlayânôs, gouverneur de Pentapolis, ses troupes et les principaux de la province s’étaient retirés dans la ville de Teucheira, qui était solidement fortifiée et s’y étaient enfermés. Les musulmans s’en retournèrent dans leur pays avec le butin et les captifs.
Le patriarche Cyrus était profondément affligé des calamités de l’Egypte. En effet, Amr traitait les Egyptiens sans pitié et n’exécutait pas les conventions qui avaient été stipulées avec lui [ ...]
p .458



[..]Le général Valentin et ses troupes ne pouvaient porter aucun secours aux Egyptiens. Ceux-ci, au contraire, notamment la ville d’Alexandrie, continuaient à être en butte aux sévices des musulmans et ils succombaient sous la charge des contributions qu’ils exigeaient. Les riches de la ville se cachèrent pendant dix mois dans les îles.[...]
p.463


Invasion musulmane de l'Italie


Extrait de la Chronica le Sancti Benedicti Casinensis, compilation de plus petits textes extrait du codex Casinensis, rédigée autour de 920. La plus grande partie des textes a été écrite à l’origine vers 867 à l’occasion de la visite par l’empereur Louis II au Mont Cassin. Le monastère du Mont Cassin a été fondé par Saint-Benoît vers 529, élevé sur la base d’une fortification romaine préexistante. Détruit vers 577 par les Lombards du duc du Bénévent, Zoton, reconstruit au début du VIIIe siècle sur mandat du pape Grégoire II, le monastère reçoit la visite de Charlemagne en 787 qui lui concède de grands privilèges. En 883, les Sarrasins envahirent le monastère, le saccagèrent et le mirent à feu. En cette occasion mourut le saint abbé Berthaire, fondateur de la ville médiévale de Cassin. Les moines survivants se réfugièrent d’abord à Teano, ensuite à Capoue.

« Si tu veux savoir, lecteur à venir, pour quelle raison les Sarrasins ont dominé le territoire de Bénévent, sache que telle fut l’occasion. Une fois Sicard, prince de Bénévent, tué par les siens, le chambrier palatin Radelchis lui succéda comme prince. À Tarente résidait alors le belliqueux Siconolf, fils du grand prince Sico de bonne mémoire. Sur ces entrefaites, les Capouans commirent les plus grands scandales, les notables furent tués par leurs sujets : leurs biens pillés, et ils s’offrirent en spectacle scandaleux à l’univers. Pour cette raison, ils redoutaient d’aller à Bénévent et d’obéir aux ordres de leur prince Radelchis. Ils machinèrent de nouvelles tromperies et allèrent trouver à Tarente Siconolf, le fils du susdit prince, et avec leurs alliés, leurs semblables pour ce qui était des scandales, ils se mirent sous le principat de Siconolf. Peu après, celui-ci entra dans Salerne et la plus grande part du territoire de Bénévent rallia son camp. Le prince Radelchis s’enflamma de haine contre lui et s’efforça de le chasser de ses terres. De ce long combat, des mauvaises actions commises de part et d’autre, aucun récit ne peut supporter l’étendue, aucun savant ne peut expliquer le sens, personne ne peut donner la description. En ce temps, le susdit prince Radelchis, par l’entremise de Pando, gastald de Bari, invita les sarrasins d’outre-mer à lui porter secours ; ceux-ci, longtemps demeurés dans les environs de Ban, s’emparèrent en pleine nuit, comme ils ont habitude de faire, de la dite ville, que l’on appelle en grec barèn, ce qui veut dire main lourde ou vigoureuse. Un nom qu’elle s’est jadis méritée à cause de la lourdeur de ses méchants crimes ou de la vigueur des dévastations sarrasines, par lesquelles elle ne s’est que trop déchaînée contre nous. Le premier roi de cette troupe inique s’appelait Kalfons ; couverts de vêtements et de chausses, ils n’étaient pas même protégés d’une armure et n’avaient en main que des roseaux. C’est avec eux que Radelchis dévasta toute la principauté de Siconolf et réduisit en cendres toute la vieille Capoue ; depuis tout ne fait qu’empirer. En ce temps, ils se livrèrent bataille à Canne.
À cette époque, les Sarrasins attaquèrent Rome, saccagèrent toute la basilique du prince des bienheureux apôtres Pierre et l’église de Saint-Paul et y tuèrent de nombreux Saxons, d’autres, très nombreux, des deux sexes et de tout âge. Ils dévastèrent la ville de Fondi et pillèrent les alentours, puis en septembre installèrent leur camp aux environs de Gaète. Là, des Francs les y rejoignirent, mais leur armée fut défaite par les Sarrasins le 4 des ides de novembre [10 novembre] et s’enfuit [...].
En ce temps, le prince Siconolf pour payer tribut aux Espagnols enleva un énorme trésor au monastère de Saint-Be [du Mont Cassin] : la première fois, un bassin d’argent, une paire de récipients, une paire d’éperons garnis de pierre d’émeraudes, un manteau de soie pourpre avec de l’or et perles. La deuxième fois, cent trente livres d’or de récipient, la troisième fois trois cent soixante-cinq livres d’argent et trois mille sous d’or monnayés ; la quatrième fois deux bas pesant trente livres et sept surtouts brodés ; la cinquième fois il enleva quatorze mille sous frappés et récents ; puis en or ciselés, un récipient et une coupe, [en argent] dorée, un drap de Constantinople ; ensuite, la sixième fois, Siconolf fit lâcher de force au monastère par le comte Lando et le gasl Aldemarius deux mille sous et la couronne de son père prince Sico, ornée d’or et d’émeraudes. »
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Renaud

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MessageSujet: Re: La tolérance musulmane   La tolérance musulmane EmptyMer 1 Mar - 1:06

La prise de Suse. (Perse)

[...]On a dit : Abû-Mûsâ s’avança contre Suse. Ayant combattu ses habitants, il fit le siège de leur ville. Lorsque leurs vivres furent épuisés, ils demandèrent la paix. Leur gouverneur militaire demanda la sauvegarde pour quatre-vingt d’entre eux en échange de l’ouverture de la porte de la ville et de sa reddition. Il fournit la liste des noms des quatre-vingts, s’en excluant lui-même. Abû Mûsâ ordonna de lui trancher le cou, ne touchant pas aux quatre-vingts ; mais il tua tous les autres combattants. Il s’empara des biens, et mit les femmes et les enfants en captivité."[..]
Balâdhurî, Futûh,p.533

Le traité de Amr avec la Pentapole

[...]Muhammad ibn Sa’d m’a rapporté , d’après al Wâqidî, qui le tenait de Shurahbîl ibn Abi-Awn d’après Abd-Allâh ibn Hubayra : Lorsque Amr ibn al-As eut conquis Alexandrie, il alla avec ses troupes en direction du Maghreb. Il arriva à Barqa, c’est-à-dire à la capitale de Pentapolis. Il fit la peix avec ses habitants sur la base d’un impôt de capitation(jizya) de 13 000 dinars, dont ils avaient à s’acquitter en vendant ceux de leurs enfants qu’ils voulaient.
Bakr IbN al –Haytham m’a rapporté disant : Amr ibn al-As fit la paix avec les enfants de Pentapolis et de sa ville Barqa -qui se trouve entre l’Egypte et l’Ifrîqiyâ. Après en avoir fait le siège et les avoir combattus, il fit la paix sur la base de l’impôt de capitation, stipulant qu’ils devaient vendre ceux de leurs enfants qu’ils voulaient pour s’en acquitter. Et il leur en donna un écrit.[...]

Balâdhurî, Futûh.p.314


[...]« J’ai résidé en Egypte durant sept ans, j’y ai pris femme. J’ai vu ses habitants accablés (majâhîd) : on leur imposait ce qui dépassait leur possibilités. Et pourtant, Amr l’avait conquise sur la base de traités de paix en échange de quelque chose dont ils devaient s’acquitter"[...]
Balâdhurî , Futûh p.305
(L’historien musulman rapporte un témoignage Urwa Ibn Al-Zubayr fils d’un des généraux qurayshites qui avaient conquis l’Egypte.)

[...]« Je me suis installé à ce siège, aucun des Coptes d’Egypte n’ayant à exciper à mon égard d’un traité quelconque et d’aucune sorte. Je tue si je veux, j’impose les gens du cinquième de leurs biens et, si je veux, je vends (les captifs ?) ; ceci à la différence des habitants de la Pentapolis lesquels bénéficièrent d’un traité que nous respectons. »[...]
Ibn abd al-Hakam, Futûh Misr, p.80
trouvable aussi dans Balâdhuri Futûh,p.305
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Elias_1

Elias_1


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Date d'inscription : 03/10/2006

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MessageSujet: Re: La tolérance musulmane   La tolérance musulmane EmptyLun 9 Oct - 13:23

cela ne cadre pas avec les enseignement du Nobles Prophète (SAWS).

-Selon Aicha encore, le Messager de Dieu (bsdl) a dit: «Dieu est doux et II aime la douceur. Il donne pour la douceur ce qu'il ne donne pas pour la violence ni pour toute autre chose». (Rapporte par Moslem)

Prouvez ce que vous avancez ou alors ne colportez pas les polémiques et ragôts infectes ou de textes sortis de derrières les placarts du vatican ou des livres pros cathéchismes haineux.
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